Joey Delgado, Martino Di Silvestro et Nino Vuarrier exposent dans l’espace libre du festival PhotoGenève le dernier week-end d’avril, du vendredi 26 au dimanche 28 avril 2024.
Vernissage le vendredi 26 avril 19h30! Plus d’infos sur le site du festival :
Venez les voir lors du festival, parler photo, argentique et autre !
Adresse : Campus Université Webster : Rte de Collex 15, 1293 Bellevue
Leurs travaux respectifs :
Description brève du projet :
L’espérance de vie est marquée par des disparités importantes selon le pays où nous habitons. Elle est en moyenne de 83 ans en Suisse, mais aux Philippines, celle-ci est de 72 ans.
Les maladies sont très courantes dans mon entourage et dès mon plus jeune âge, j’ai été exposé aux funérailles.
Ces photos sont prises à Manille près de ma maison et du cimetière de mon grand-père à Antipolo.
Description brève du projet :
«Passion: The Holy Week in Sicily» est un projet photographique qui s’étend sur plus de vingt ans et qui se poursuit. Cette sélection de tirages concerne la Passion du Christ vécue pendant la Pâque à travers les villages de la Sicile. Ce travail met en évidence la Passion avec son calvaire, sa mort et sa résurrection. La sélection complète compte environ l00 photographies. Les six images sélectionnées pour le Festival PhotoGenēve se focalisent sur la commémoration de cette mise à mort du Vendredi Saint. La période pascale c’est le printemps, la nature se réveille et la lumière intense du sud inonde la terre et les hommes. Ce réveil cyclique coïncide au renouvellement spirituel des communautés des fidèles et devient une occasion pour les photographes.
Description brève du projet :
Cette série photographique questionne notre rapport aux espaces communs.
Quel est le rapport des habitants à ces lieux communs (corridors, coursives, jardins communs…)? Ce sont parfois des espaces en suspens, qui pourraient être considérés comme des lieux de non-droit. Des habitants s’emparent des couloirs, posant de-ci de-là, des objets-ovnis. Une atmosphère se crée, par le biais de tables, d’affiches, de chaises, objets porteurs de bouts d’histoires. Ces amoncellements d’objets hétéroclites dans les coursives d’immeubles, racontent tant sur les habitants.
À travers cette série, l’artiste cherche à restituer l’ambiance qui s’en dégage. Ces aménagements sont pour l’artiste le reflet de personnalités qui se dessinaient.
Des questions en suspens, reflet de ces mêmes personnes qui déambulent dans le quartier, que nous pourrions rencontrer au coin de la rue, un mystère plane.